Nos équipes du département oncologie prennent en charge l’étude, le diagnostic et le traitement des maladies cancéreuses.
Diagnostic
La suspicion de cancer repose sur plusieurs éléments : l’examen clinique (les symptômes), les examens biologiques (les prises de sang et analyses), les examens d’imagerie (IRM, radio, scanner, …)
La preuve du cancer ne peut être apportée que par un prélèvement de la tumeur et son analyse au microscope par l’anatomo-pathologiste.
Cette étude permet de comprendre l’histoire des cellules cancéreuses, le développement des tumeurs et de leurs métastases (Foyer secondaire éloigné d’un foyer initial) et de classer par nature les tissus cancéreux.
La Chirurgie oncologique
La chirurgie est un traitement local du cancer qui a pour objectif d’enlever la tumeur, les ganglions correspondants et les éventuelles métastases. On parle aussi d’ablation de la tumeur ou de la lésion cancéreuse.
Les chirurgiens oncologues peuvent pratiquer des interventions telles que :
- La chirurgie laparoscopique pour retirer les tumeurs malignes de l’abdomen ou du bassin ;
- Chirurgie mini-invasive (laparoscopie) pour le cancer du sein ;
- Chirurgie pour les tumeurs testiculaires ;
- l’ablation chirurgicale de métastases dans les organes internes (par exemple les poumons).
La Chimiothérapie
La chimiothérapie (pris en charge dans notre département oncologie) est un traitement comportant l’administration de médicaments qui agissent sur les cellules cancéreuses soit en les détruisant, soit en les empêchant de se multiplier.
La chimiothérapie permet de traiter certains types de leucémie, de lymphome, de cancer du sein, du poumon, de la tête et du cou, de cancer de l’estomac et de lymphome de Hodgkin. Elle peut également être utilisée pour traiter certaines affections non cancéreuses (bénignes).
La chimiothérapie est administrée par voie intraveineuse (IV) ou sous forme de comprimés à prendre par la bouche ; elle n’est pas injectée dans une veine comme le sont les antibiotiques.
La chimiothérapie peut être utilisée comme traitement principal du cancer ou en complément d’autres traitements tels que la radiothérapie et la chirurgie. Elle peut également être utilisée pour empêcher le cancer de réapparaître une fois qu’il a été traité par chirurgie ou radiothérapie.
La Radiothérapie
La radiothérapie est un traitement locorégional des cancers (zone ou organe précis). Elle consiste à utiliser des radiations pour détruire les cellules cancéreuses en bloquant leur capacité à se multiplier.
La radiothérapie est utilisée pour traiter de nombreux types de cancers, y compris certains types de cancers de la tête, du cou, du cerveau, du poumon, du sein et de la peau.
La radiothérapie peut être utilisée avant l’intervention chirurgicale pour réduire la taille des tumeurs et faciliter leur ablation. Elle peut également être utilisée après l’intervention chirurgicale s’il reste du cancer ou si le cancer s’est propagé à d’autres parties du corps (métastases).
La radiothérapie endommage l’ADN des cellules afin qu’elles ne puissent pas se diviser et se développer en nouvelles tumeurs. Cela peut se produire de deux manières :
- directement – lorsque le rayonnement touche directement le site où se trouve la tumeur
- indirectement – lorsque les radiations traversent les tissus sains qui entourent la tumeur.
C'est quoi le Lymphome ?
Le lymphome (traité au sein de notre département Oncologie) est un type de cancer qui se développe dans le système lymphatique, un réseau d’organes, de glandes et de vaisseaux qui aide l’organisme à lutter contre les infections et d’autres maladies. Le système lymphatique comprend la rate, les amygdales, les adénoïdes et le thymus.
Il existe plusieurs types de lymphomes :
Le lymphome de Hodgkin. Ce type de cancer survient lorsque les cellules d’une partie du système lymphatique se développent de manière incontrôlée. Ces cellules peuvent se propager à d’autres parties du corps par le biais du sang ou du système lymphatique.
Le lymphome non hodgkinien (LNH). Le LNH comprend de nombreux types de cancers différents qui ne sont pas nommés en fonction de l’endroit où ils se développent dans l’organisme. Par exemple, le lymphome à cellules du manteau commence dans des cellules situées en dehors de la rate ; le lymphome diffus à grandes cellules B commence dans des cellules B situées en dehors de la rate ; et le lymphome de Burkitt commence dans des cellules de la paroi de l’estomac appelées plasmocytes.
Les lymphomes sont généralement traités par des médicaments de chimiothérapie ou de radiothérapie (parfois les deux). Il se peut également que vous deviez subir une intervention chirurgicale ou d’autres procédures pour retirer le tissu cancéreux de votre corps avant le début du traitement ou dans le cadre de votre plan de traitement.
Le Cancer de l'utérus
Le cancer de l’utérus (traité au sein de notre département Oncologie) est une maladie caractérisée par la formation de cellules malignes (cancéreuses) dans les tissus de l’utérus. Le cancer de l’utérus est une maladie caractérisée par la formation de cellules malignes (cancéreuses) dans les tissus de l’utérus.
Le type le plus courant de cancer de l’utérus est le carcinome endométrial, qui se développe dans la muqueuse de l’utérus (endomètre). Le deuxième type de cancer de l’utérus le plus fréquent est le sarcome utérin, qui se développe dans le tissu musculaire. Les cancers qui se développent en dehors de ces tissus normaux sont beaucoup moins fréquents que les cancers qui prennent naissance dans ces tissus.
Le cancer peut également se propager d’autres organes à l’utérus, mais ce type de propagation n’est pas considéré comme un cancer de l’utérus car il n’en est pas à l’origine.
Les symptômes comprennent des saignements anormaux du vagin et des douleurs ou pressions pelviennes qui durent plus de deux semaines ou qui se produisent plus souvent que tous les deux mois.
Nous vous présentons quelques articles inhérents à des pathologies prises en charge dans notre clinique Méditerranéenne, avec une équipe médicale et paramédicale efficace et efficiente.
L’adénocarcinome est un type de cancer qui se développe dans les tissus glandulaires, comme la muqueuse des poumons, des intestins ou du sein. Il peut également apparaître dans d’autres organes. Le tissu glandulaire sécrète des hormones et d’autres substances qui contrôlent la croissance et le développement de l’organisme.
L’adénocarcinome est une tumeur maligne issue des cellules épithéliales glandulaires. Il est utilisé pour décrire une grande variété de cancers qui partagent certaines caractéristiques communes avec le tissu glandulaire normal, notamment une tendance à envahir le tissu local, à se propager localement avant de se répandre dans le système et à former fréquemment des métastases dans les ganglions lymphatiques ou dans des sites éloignés (tels que les poumons ou le foie).
Symptômes de l’adénocarcinome
Les symptômes de l’adénocarcinome sont généralement non spécifiques et comprennent notamment :
- Urines sanglantes ou sang dans les selles
- Fatigue ou faiblesse
- Perte de poids sans raison connue
- Nausées ou vomissements
Le cancer de la peau (traité au sein de notre département Oncologie) est une maladie dans laquelle des cellules malignes se forment dans la peau. Le mélanome est la forme la plus mortelle de cancer de la peau.
Le cancer de la peau est fréquent, mais la plupart des cas sont guérissables s’ils sont détectés à un stade précoce. Le cancer de la peau est plus susceptible de se développer sur les zones exposées au soleil, telles que le visage, les oreilles, les lèvres et le cou.
Les symptômes du cancer de la peau varient en fonction du type de cancer et de l’endroit où il se développe sur le corps.
Les symptômes sont les suivants :
Un grain de beauté suspect ou en évolution (appelé mélanome)
Des plaies qui ne guérissent pas au bout d’un mois, en particulier si elles se trouvent sur le visage ou les mains.
D’autres changements dans les grains de beauté qui sont présents depuis des années.
Quelles sont les causes du cancer de la peau ?
Les rayons ultraviolets (UV) du soleil endommagent l’ADN de la peau et provoquent une croissance anormale des cellules cutanées. Ces dommages peuvent entraîner un cancer de la peau. La plupart des gens sont exposés aux rayons UV tous les jours sans s’en rendre compte parce qu’ils passent du temps à l’extérieur, en particulier pendant les heures d’ensoleillement maximal (de 10 heures à 14 heures).
L’exposition au soleil ne se limite pas aux activités de plein air telles que le jardinage et le golf – même le fait de sortir déjeuner peut augmenter le risque de développer un cancer de la peau. Le temps d’exposition aux rayons UV a également son importance : Plus vous passez d’heures par jour à l’extérieur sans écran solaire ni vêtement de protection sur les bras et les jambes, plus vous risquez de développer un cancer de la peau.
Les sarcomes sont des cancers qui se développent à partir du tissu conjonctif de l’organisme. Le tissu conjonctif est un type de tissu qui soutient et relie d’autres types de tissus dans le corps. Il est présent dans les organes, les muscles, les os, le cartilage et les vaisseaux sanguins.
Les sarcomes peuvent apparaître presque partout dans le corps, mais ils se forment le plus souvent dans les os ou les muscles. Ils sont également appelés sarcomes des tissus mous car ils se développent à partir des tissus mous du corps, tels que la graisse ou les muscles. Les cellules cancéreuses se développent rapidement et envahissent les tissus et organes sains avoisinants.
Traitement des sarcomes
Les sarcomes sont des cancers rares mais agressifs qui peuvent toucher n’importe quelle partie du corps. Ils sont généralement traités par une intervention chirurgicale suivie d’une chimiothérapie ou d’une radiothérapie. Le type de traitement dépend de l’origine du cancer, de sa gravité et de sa propagation à d’autres parties du corps (métastases).
Il existe de nombreux types de sarcomes différents qui font l’objet de traitements différents :
Le sarcome des tissus mous (STS) se manifeste dans les tissus adipeux et musculaires tels que les tendons et les ligaments autour des articulations, les cellules de la moelle osseuse, les vaisseaux sanguins, les nerfs, la graisse autour des organes internes tels que la rate, le foie, les cellules de la moelle épinière et les cellules de la moelle osseuse.
Le lymphome de Hodgkin est un cancer du système lymphatique, qui fait partie du système immunitaire de l’organisme. Le système lymphatique comprend les ganglions lymphatiques, la rate et les amygdales.
Le lymphome est un cancer qui affecte le tissu lymphoïde, qui combat les infections et d’autres maladies. Le tissu lymphoïde comprend les ganglions lymphatiques et la rate. Les lymphomes peuvent également apparaître dans d’autres parties du corps, comme la moelle osseuse et le tractus gastro-intestinal (estomac et intestins).
La maladie de Hodgkin doit son nom à un médecin anglais, Thomas Hodgkin, qui l’a décrite pour la première fois en 1832. En 1866, le pathologiste français Georges de Morsier a décrit pour la première fois une autre forme de lymphome appelée lymphome non hodgkinien (LNH).
Les symptômes du lymphome de Hodgkin sont les suivants :
- Gonflement indolore d’un ou de plusieurs ganglions lymphatiques (lymphadénopathie)
- Sensation de fatigue ou de faiblesse
- Fièvre
- Difficultés respiratoires
Une tumeur cérébrale est une masse de tissu anormal qui se développe dans le cerveau. Une tumeur peut être bénigne ou maligne. La plupart des types de tumeurs peuvent être enlevés par chirurgie. Certaines tumeurs sont inopérables et doivent être traitées par radiothérapie ou chimiothérapie.
Qu’est-ce qu’une tumeur cérébrale ?
Une tumeur cérébrale est une croissance anormale de cellules dans le cerveau ou la moelle épinière. Les cellules se développent de manière incontrôlée et forment une masse appelée tumeur.
Le terme “tumeur cérébrale” englobe tous les différents types de lésions qui se produisent dans le système nerveux central (SNC). Il s’agit notamment de :
- les tumeurs bénignes (non cancéreuses)
- les lymphomes primaires malins du SNC
Les tumeurs cérébrales peuvent provoquer une grande variété de symptômes en fonction de leur taille, de leur localisation et du type de tissu concerné. Certains symptômes peuvent inclure des maux de tête, des crises d’épilepsie, des vomissements, des changements de personnalité, des problèmes de vision et des troubles de l’équilibre et de la coordination.
Le traitement dépend du type et de la localisation de la tumeur. La chirurgie est souvent utilisée pour enlever la tumeur et les tissus environnants si nécessaire. Une radiothérapie peut également être nécessaire pour réduire le risque de récidive. Pour certains types de cancer du cerveau, une chimiothérapie peut également être recommandée après la chirurgie ou la radiothérapie.
Le cancer des os (traité au sein de notre département Oncologie) est une maladie rare qui survient lorsque des cellules cancéreuses se forment dans les os. Les types de cancers osseux les plus courants sont l’ostéosarcome, le sarcome d’Ewing et le chondrosarcome.
Les cancers osseux peuvent survenir à tout âge mais sont plus fréquents chez les jeunes adultes. Les femmes sont plus susceptibles que les hommes de développer cette maladie.
Les symptômes du cancer des os sont les suivants :
- Douleur dans les os ou les articulations
- Raideur ou gonflement des articulations (en particulier dans les mains et les pieds)
- Une grosseur ou un gonflement sur la peau près d’un os (comme le fémur, l’os du bras, le bassin ou la cage thoracique) qui ne disparaît pas avec le traitement.
Le cancer des os est un type de cancer qui se développe dans les os. Le tissu osseux est constitué de cellules appelées ostéoblastes et ostéoclastes, qui contribuent à la solidité et à la santé des os. Les ostéoblastes fabriquent du nouveau tissu osseux, tandis que les ostéoclastes décomposent le vieux tissu osseux pour le remplacer par du nouveau. Lorsque ces processus se déroulent mal, ils peuvent entraîner le développement de cellules anormales (tumeurs) qui peuvent envahir les tissus voisins ou se propager à d’autres parties du corps (métastases).
Il existe deux principaux types de cancer des os : les tumeurs primaires et les tumeurs secondaires. Les tumeurs primaires se développent directement à partir des ostéoblastes ou des ostéoclastes dans la cavité de la moelle ou dans le cortex (couche externe) des os longs, comme ceux des bras ou des jambes. Les tumeurs secondaires peuvent apparaître lorsque des cellules cancéreuses provenant d’une autre partie du corps pénètrent dans l’une de ces zones par le biais de la circulation sanguine ou du système lymphatique et y forment des tumeurs anormales.
La Biopsie
Une biopsie est une procédure au cours de laquelle un médecin prélève un minuscule échantillon de tissu de votre corps. L’échantillon est ensuite examiné au microscope afin de déterminer le type de tumeur dont il provient et son degré de propagation.
Une biopsie peut être pratiquée pour de nombreuses raisons, notamment pour
Pour savoir si vous avez un cancer. Si votre médecin pense que vous avez un cancer, il peut recommander une biopsie pour confirmer le diagnostic.
Pour savoir si une tumeur existante est réapparue après un traitement. Votre médecin peut vouloir réexaminer votre tumeur avant de décider d’autres options de traitement.
Pour vérifier si certains symptômes – tels que le gonflement ou la douleur – sont causés par des excroissances cancéreuses dans le corps (comme les ganglions lymphatiques).
Pour décider si une radiothérapie est nécessaire après une intervention chirurgicale pour un cancer de la prostate ou un cancer du sein qui s’est propagé à d’autres parties du corps (métastases).
Exérèse
L’exérèse est un traitement médical en oncologie. L’exérèse est également appelée exentération ou chirurgie radicale.
Il s’agit d’une procédure chirurgicale visant à retirer tout ou partie d’un organe ou d’une tumeur. L’objectif de cette chirurgie est d’enlever la plus grande partie possible du cancer et d’éviter qu’il ne se propage à d’autres parties du corps.
L’exérèse peut être utilisée pour traiter de nombreux types de cancers, notamment :
- le cancer du sein
- Cancer du col de l’utérus (cou)
- Cancer de l’œsophage (partie inférieure)
- Cancer gastrique (estomac)
- Cancer du poumon (non à petites cellules)
Le Myélogramme
Les myélogrammes sont souvent utilisés pour détecter des tumeurs, des kystes ou d’autres anomalies de la moelle épinière. La procédure consiste à injecter un produit de contraste dans les espaces entourant la moelle épinière. Le produit de contraste peut être visible sur une radiographie, ce qui permet à votre médecin de voir si votre colonne vertébrale présente des problèmes.
Le type de myélogramme le plus courant est l’étude par colorant radiographique, également appelée myélogramme ou myélographie. Lors de cet examen, votre médecin injecte un liquide contenant un colorant dans l’une de vos veines afin de remplir les espaces autour de votre moelle épinière. Le colorant permet aux médecins de voir plus facilement les problèmes de la colonne vertébrale sur une radiographie.
La myélographie peut être pratiquée pour vérifier la présence de tumeurs ou d’autres anomalies dans la colonne vertébrale. Elle peut également être pratiquée sur des patients devant subir une intervention chirurgicale sur la colonne vertébrale, car elle permet aux médecins de voir s’il y a des problèmes dans cette région avant de procéder à l’intervention chirurgicale.
Pet Scan
Il s’agit d’un test d’imagerie qui peut être effectué pour vérifier la présence d’un cancer ou d’autres problèmes de santé dans votre corps.
Le PET scan (tomographie par émission de positons) est un type de scanner cérébral qui permet de détecter certains types de cancer, de maladies cardiaques et d’autres problèmes. La procédure consiste à injecter une petite quantité de traceur radioactif dans une veine, puis à utiliser un scanner pour détecter le traceur dans différentes zones du corps. Les images produites par le traceur montrent les endroits où il y a le plus de vaisseaux sanguins et leur degré d’activité.
L’image résultante montre le fonctionnement d’organes tels que le cerveau et le cœur et indique s’ils sont suffisamment irrigués par le sang. Il est également utilisé pour détecter les cancers, y compris ceux qui évoluent lentement ou qui sont difficiles à trouver lors d’une intervention chirurgicale ou d’autres examens.
Dans certains cas, le PET scan peut aider les médecins à déterminer si une personne doit être traitée avec des médicaments tels que la chimiothérapie ou la radiothérapie au lieu d’être opérée ou de subir d’autres procédures
Vous questionnez, nos équipes répondent.
F.A.Q
L’oncologie est une branche de la médecine qui s’occupe de la prévention, du diagnostic et du traitement du cancer.
L’oncologie est un vaste domaine qui englobe de nombreuses autres disciplines. Les scientifiques et les chercheurs dans ce domaine sont connus sous le nom d’oncologues (ou oncologues médicaux) ou de cancérologues.
L’oncologie n’est généralement pas une maladie spécifique, mais plutôt l’étude des tumeurs malignes (cancer) et de leur traitement. Elle se concentre sur l’utilisation d’agents thérapeutiques pour détruire les cellules malignes. Il peut s’agir de chirurgie, de radiothérapie, de chimiothérapie, d’immunothérapie ou de biothérapie.
Le cancer n’est pas une seule maladie, mais plutôt des centaines de maladies classées en fonction de leur origine et de leur aspect au microscope. Le cancer peut survenir n’importe où dans le corps et à n’importe quel âge, mais le plus souvent après 50 ans. Environ la moitié des cancers surviennent chez des personnes âgées de 70 à 79 ans. Les cancers sont nommés en fonction de leur localisation (comme le cancer du poumon ou le cancer du côlon), de leur aspect au microscope ou du type de cellule dont ils sont issus (comme le lymphome).
La métastase est la propagation de cellules cancéreuses d’un organe ou d’une partie du corps à un autre. Les cellules cancéreuses peuvent se détacher d’une tumeur et se déplacer dans le système sanguin ou lymphatique vers d’autres parties du corps. Une fois sur place, elles commencent à se développer et à former de nouvelles tumeurs. Ce processus est appelé métastase.
Les cellules cancéreuses peuvent se détacher d’une tumeur et se déplacer à travers le système sanguin ou lymphatique vers d’autres parties du corps. Une fois sur place, elles commencent à se développer et à former de nouvelles tumeurs. Ce processus est appelé métastase.
Les cellules cancéreuses peuvent se détacher d’une tumeur et se déplacer à travers le système sanguin ou lymphatique vers d’autres parties du corps. Une fois sur place, elles commencent à se développer et à former de nouvelles tumeurs. Ce processus est appelé métastase.
Le cancer de l’œsophage (traité au sein de notre département Oncologie) est la croissance de cellules anormales dans l’œsophage, le tube musculaire qui transporte les aliments de la gorge à l’estomac. L’œsophage est situé derrière la trachée et le cœur et au-dessus de l’estomac.
Le cancer de l’œsophage ne provoque généralement aucun signe ou symptôme tant qu’il ne s’est pas propagé à d’autres parties du corps. Si vous présentez des symptômes, il peut s’agir d’une indigestion, de difficultés à avaler, d’une douleur ou d’une gêne dans la poitrine ou le dos, d’un enrouement, d’une difficulté à respirer et d’une perte de poids.
Les options de traitement du cancer de l’œsophage comprennent la chirurgie, la chimiothérapie, la radiothérapie et la thérapie ciblée. La chirurgie est utilisée pour retirer tout ou partie de l’œsophage contenant des cellules cancéreuses. Elle peut être réalisée par chirurgie ouverte (avec une incision) ou par endoscopie (à l’aide d’un instrument appelé endoscope). La chimiothérapie utilise des médicaments pour tuer les cellules cancéreuses en les empêchant de se diviser correctement ou en endommageant leur ADN. La radiothérapie utilise des rayons à haute énergie dirigés vers les tissus cancéreux pour tuer les cellules cancéreuses et réduire les tumeurs. La thérapie ciblée utilise des médicaments qui ciblent les protéines produites par certains types de cellules cancéreuses afin qu’elles puissent être détruites par votre système immunitaire
La chirurgie laparoscopique, également appelée chirurgie mini-invasive, est un type de chirurgie qui consiste à insérer des outils et des instruments fins à travers de petites incisions (coupures) dans le corps. Le chirurgien utilise ces outils pour voir et atteindre l’intérieur du corps.
La laparoscopie est généralement pratiquée à travers plusieurs petites incisions dans la paroi abdominale. Un laparoscope est un tube fin muni d’une caméra à une extrémité et d’une source lumineuse à l’autre. Il permet au chirurgien de voir à l’intérieur de l’abdomen ou du bassin pendant l’opération.
La chirurgie laparoscopique peut être utilisée pour traiter de nombreuses affections touchant l’abdomen, le bassin ou les organes reproducteurs, comme par exemple :
- L’appendicite
- Les calculs biliaires
- Ulcères gastriques
- Les calculs rénaux
- Les obstructions intestinales (blocages)
- Fibromes utérins
Le cancer est une maladie qui touche tous les âges. Les cancers les plus courants sont le cancer du sein, le cancer de la prostate, le cancer du poumon, le cancer du côlon et du rectum, le mélanome de la peau et le cancer de la peau sans mélanome, ainsi que le cancer du rein et du bassinet du rein (traités au sein de notre service Oncologie).
Les tests biologiques les plus couramment utilisés pour le diagnostic du cancer :
Recherche de marqueurs tumoraux
Les marqueurs tumoraux sont des substances que l’on peut trouver dans le sang ou l’urine. Ils peuvent être associés à certains types de cancer et peuvent aider votre médecin à déterminer si vous avez un cancer, à quel point il s’est propagé et de quel type il s’agit. Le dépistage des marqueurs tumoraux se fait souvent au moyen d’une simple analyse de sang.
Recherche de mutations spécifiques
Certains cancers présentent des mutations spécifiques qui peuvent être identifiées par des tests. Ces mutations peuvent aider votre médecin à déterminer le type de traitement dont vous avez besoin.
Les biomarqueurs sont des protéines ou des molécules qui peuvent être détectées dans le sang, l’urine, la salive ou d’autres fluides corporels d’une personne. Ils peuvent être trouvés en petites quantités et fournissent souvent des informations sur la présence d’une maladie ou sur le risque qu’une personne développe une maladie. Les biomarqueurs sont souvent utilisés pour diagnostiquer le cancer.
Le type de biomarqueur le plus courant est une protéine produite par les cellules cancéreuses qui circule dans le sang (sérum). Cette protéine peut être libérée par des cellules endommagées (par exemple, des cellules hépatiques), mais elle n’est normalement pas présente dans le sang. Les biomarqueurs d’autres types de cancers comprennent les mutations de l’ADN dans les échantillons de sang et les changements génétiques dans les cellules trouvées dans les échantillons de selles.
La détection de ces biomarqueurs est appelée test de biomarqueurs ou profilage moléculaire. L’objectif est d’identifier les modifications spécifiques des gènes, des protéines ou d’autres molécules causées par le cancer ou d’autres maladies, afin que les patients puissent recevoir des traitements appropriés en fonction de leurs risques et de leurs besoins individuels.
La Tuméfaction est le gonflement des tissus, généralement dû à l’accumulation de liquide. Le gonflement est un symptôme courant dans de nombreuses maladies, notamment les infections, les inflammations et les néoplasmes (tumeurs cancéreuses).
La cause du gonflement est généralement facile à déterminer. Dans les infections bactériennes, par exemple, la zone environnante s’enflamme lorsque les globules blancs attaquent les bactéries et se multiplient à l’intérieur des vaisseaux sanguins qui se bouchent avec des cellules et des protéines inflammatoires. Cela provoque un gonflement ainsi que des douleurs et des rougeurs. Dans certains types de cancer, comme le lymphome, les ganglions lymphatiques grossissent parce que les lymphocytes (un type de globules blancs) s’y accumulent. Cela peut provoquer un gonflement dans d’autres parties du corps en raison de l’obstruction des vaisseaux lymphatiques.
Un gonflement peut également se produire lorsqu’il y a une augmentation anormale de liquide ou de protéines dans un organe ou un tissu. Dans certains types d’insuffisance cardiaque, par exemple, un excès de liquide s’accumule dans les poumons ou l’abdomen parce que le cœur ne peut pas pomper suffisamment de sang dans ces zones.